Couëron : poursuite des travaux de réaménagement du nouveau quartier du centre-ville

Temps de lecture estimé à environ 18 minutes.
Contrôles :
Avatar Gilles VIDOTTO Gilles Vidotto

le 29 mars 2019

[ mis à jour le 01 avril 2022 ]

SOMMAIRE

© Ville de Couëron

Située en deuxième couronne de la Métropole nantaise, Couëron s’inscrit en plein dans le dynamisme actuel de l’agglomération et dans le développement de ce territoire attractif, destiné à compter dans les 680.000 habitants à l’horizon 2030, pour 630.000 aujourd’hui. Au dernier recensement de l’INSEE, on dénombrait 20.820 Couëronnais, et ils ne cessent depuis d’augmenter. La ville est désormais plus que jamais impliquée dans la bonne gestion de son développement urbain, qu’elle souhaite résolument poursuivre afin de continuer à accueillir de nouveaux habitants, tout en maîtrisant son étalement et en conservant la qualité de son cadre de vie.

Couëron et Nantes métropole fonctionnent main dans la main. Comme les 23 autres communes de la Métropole, Couëron subit ces dernières années une importante pression foncière, et c’est en évoluant et en se transformant intelligemment qu’elle parvient à maintenir ce délicat équilibre qui seul peut lui conserver une identité entre ville et campagne, entre tradition et modernité, et attachée au bien-vivre ensemble. Le projet de territoire couëronnais n’a ainsi rien laissé au hasard. Il est intimement lié à celui de la Métropole nantaise avec qui la Ville vient de signer un nouveau contrat de co-développement, servant de document-cadre de référence et de pilotage, et devant jouer comme un gage d’efficacité de l’action publique territoriale sur le long terme.

« L’attractivité territoriale est la capacité à attirer et retenir les entreprises et les populations grâce à l’existence de caractéristiques propres qui font qu’un territoire exerce un fort effet d’attraction, comme c’est le cas pour notre Métropole et ses 24 communes. Jalonné par de grandes dates — syndicat intercommunal de l’agglomération nantaise en 1982, district en 1992, communauté urbaine en 2001… — ce bassin de vie est avant tout le creuset d’une très belle aventure humaine, faite de destins conjugués, de projets partagés et de solidarités. Ne l’oublions jamais : la Métropole est une chance pour Couëron, et elle l’est aussi pour chacune et chacun d’entre nous, qui vivons, travaillons et circulons sur ce territoire plein de vitalité et d’énergie.
Le contrat de co-développement que nous venons de signer scelle une fois encore notre communauté de destin avec une Métropole innovante et ouverte sur le monde, à nos côtés pour répondre aux défis de l’avenir… »
Carole Grelaud, maire de Couëron

En tout, quatre zones du territoire communal sont en train de connaître des mutations urbaines d’ampleur, qui les destinent à en faire les terres d’accueil d’un nombre important de logements neufs et de nouveaux équipements. Alors que la ZAC de la Métairie doit accueillir 620 logements et un lieu de vie d’un nouveau genre pour les seniors, la ZAC Rives de Loire en abritera 300 sur l'ancien site industriel de la Tour à plomb, à cheval sur une falaise. Dans le même temps, la rue du Docteur Janvier est en train de s’agrandir et de se moderniser pour accueillir au mieux les trois programmes de logements individuels et collectifs qui y sont prévus et qui vont démultiplier la fréquentation de cette artère de cœur de ville. Enfin, la réalisation du nouveau quartier Ouest Centre-ville, démarrée en mars 2007, se poursuit sur un rythme soutenu, voyant à chacune de ses phases d’aménagement de nouveaux logements sortir de terre. À terme, le quartier comptera quelque 1.750 logements neufs, participant ainsi pleinement au dynamisme important du marché immobilier neuf à Nantes Métropole.

© Ville de Couëron

620 logements à terme à la ZAC de la Métairie

La ZAC de la Métairie a été créée en 2005. Aménagé sur un périmètre de 25 hectares, le site se situe à l’interface d’un environnement urbain et d’un paysage rural : au nord, le lac de Beaulieu et le hameau de La Bazillière, havres de nature préservés, à l’est le centre-bourg de La Chabossière, plus urbanisé, riche en équipements, services, commerces et extensions pavillonnaires. Au sud et à l’ouest, le Couëron historique, qui assure les liens fonctionnels entre toutes ces identités et les fait s’articuler en bonne intelligence.

Les trois premières phases d’aménagement ont déjà permis de réaliser 400 nouveaux logements. Un peu plus de 200 autres sont prévus pour la quatrième phase, qui doit permettre d’achever le programme de 620 logements neufs prévus à terme. La ZAC comprendra une part de 25 % de logements en locatif social, et une part de 25% en abordable. Collectif, maisons de ville, lots individuels… Toutes les typologies d’habitat seront disponibles, et alimenteront une offre diversifiée permettant l’accueil de tous types de ménages. La Ville y prévoit l’accueil à terme de 1.360 nouveaux habitants. 900 y logent déjà aujourd’hui.

En parallèle, un projet de logements adaptés pour les séniors prendra place au nord-est de la ZAC, sur l’îlot 12, sur 4.500 m² de surface-plancher au total. Il prévoit un accès à des services communs et des espaces partagés, pensés comme un nouvel écosystème social sur le mode du « tiers-lieu ». La ZAC de la Métairie doit également profiter bientôt d’un nouveau parc, conçu à partir du patrimoine végétal existant.

Plusieurs objectifs ont été définis pour mener à bien dans les meilleures conditions la suite du programme d’aménagement. Les priorités retenues sont les suivantes :

La dernière phase de commercialisation des logements est prévue pour la fin 2019, et l’achèvement de la ZAC pour 2020.

Un lieu de vie pour seniors comprenant des logements et un tiers-lieu

C’est une résidence sénior d’un genre inédit qui doit prendre place d’ici 2021 au sein de la ZAC de la Métairie, à l’angle de l’avenue du Chevalier de Beaulieu et de la rue de la Salle. Le projet, baptisé « Lieu merveilleux », doit permettre aux séniors de pouvoir « habiter et vieillir autrement à Couëron », comme le résume la maire Carole Grelaud. Ce projet, débuté en 2016 suite au refus de financement d’un Ehpad de 60 chambres par l’ARS (Agence régionale de santé), doit venir clore l’aménagement de la ZAC.

« Une consultation a été lancée auprès de bailleurs sociaux pour développer une offre résidentielle, environ 62 logements, dédiés aux seniors modestes, avec une offre de services. »
Carole Grelaud, maire de Couëron

L’originalité du projet réside dans son modèle particulier, calqué sur les foyers de jeunes travailleurs dont l’aménageur retenu, Adelis, est spécialiste. L’idée est d’adapter ce modèle aux séniors, pour leur offrir leur propre parcours résidentiel, de la maison de propriétaire à l’appartement en collectivité, jusqu’à la résidence en autonomie et à l’Ehpad. Elle émane d’une demande existante à Couëron, celle des personnes âgées autonomes de se voir offrir des résidences adaptées à leurs besoins spécifiques.

Le projet a été co-construit par des séniors et des membres d’associations, avec le CLRPAC, la Résidence la Grange, la Ville et le Conseil des Sages, réunis en ateliers de réflexion de juin à octobre 2017. Les groupes de travail ont cherché à identifier les besoins réels des futurs usagers et à penser l’ouverture de la structure sur le quartier. Ils ont également voulu que la résidence à construire s’articule à la construction conjointe d’un « tiers-lieu », conçu comme lieu de partage entre les résidents et avec l’extérieur en général.

« Les habitants resteraient ainsi connectés au quartier, dans des appartements du T1 au T3. Un lien serait fait avec une maison de santé. Une personne serait formée en gérontologie. Et comme dans les foyers de jeunes travailleurs, on pense à un service de sécurité. »
Adelis, entreprise de l’économie sociale et de réponses en matière de logement

Trois propositions ont finalement été retenues pour la résidence, mais la société précise bien : « On a demandé aux architectes de ne pas aller trop loin, pour une réflexion de nouveau avec les habitants. ». La co-construction préside donc à l’élaboration du projet, du début à la fin. Et c’est peut-être une des raisons pour lesquelles ce concept inédit s’est vu mettre à l’honneur dans deux concours. Au moment où Nantes métropole lance son troisième Grand débat sur la question de la transition démographique, ce « Lieux merveilleux » aux belles ambitions semble tomber à pic. Quand Nantes interroge donc ses habitants sur une question de plus en plus fondamentale, « Quelle place prendre de 65 à 85 ans ? », Couëron y apporte déjà une esquisse de réponse.

Le projet retenu sera dévoilé à l’automne 2019, pour un achèvement de la construction prévu en 2021.

© Ville de Couëron

3 programmes de logements et un prolongement de la rue du Docteur Janvier

L’aménagement de la rue du Docteur Janvier fait l’objet d’un Projet Urbain Partenarial qui doit permettre la participation des divers constructeurs impliqués sur le secteur. La rue devant accueillir 3 programmes de logements neufs portés par des promoteurs nationaux, ils ont été invités à co-financer les équipements publics qui permettront de répondre aux besoins des habitants actuels et futurs du périmètre.

Ces 3 programmes de logements individuels et collectifs ont prévu de s’ériger d’ici la fin 2020 sur la rue du Docteur Janvier. Le premier d’entre eux posera ses premières fondations en mai 2019.

La première phase du projet prévoit un prolongement relativement important de la rue du Docteur Janvier vers l’est, jusqu’au parking de la salle des Estuaires. Cet aménagement devra permettre d’améliorer la liaison entre ce nouveau vivier d’habitations et le reste de la ville. Une démarche d’autant plus importante et nécessaire que les aménageurs ont prévu que 2 autres programmes de logements, encore « à définir », s’inscrive dans ce projet de revitalisation de la rue du Docteur Janvier.

Les travaux commenceront en mars 2019, et s’achèveront au deuxième trimestre 2020. En marge de la rue principale, ils prévoient aussi la requalification des diverses voiries et espaces publics, sous la maîtrise d’ouvrage de Nantes Métropole. Cela permettra la réfection des réseaux, des chaussées, des trottoirs, des espaces paysagers, de l’éclairage, des mobiliers urbains, et l’effacement des réseaux aériens. De quoi donner à cette rue du Docteur Janvier le souffle de modernité qu’il lui manquait pour s’inscrire avec Couëron dans une nouvelle ère de développement.

300 logements à cheval sur la falaise pour la ZAC Rives de Loire

Situé en bords de Loire, installé sur l’ancien site industriel de la Tour à plomb, le nouveau quartier des Rives de Loire doit permettre d’accueillir une nouvelle offre de logements à proximité du centre-ville de Couëron tout en assurant une mixité sociale. Étalé sur 8 hectares, ce nouveau quartier sera divisé en 3 secteurs :

  1. une zone d'habitat à l'ouest
  2. une zone d'équipements existants à l'est
  3. un parking paysager au nord

La ZAC des Rives de Loire a vu ses premiers aménagements achevés en 2009, avec la requalification de la Cour des Douze Femmes en colère. Depuis, le site a connus trois phases de démolition, en 2012, 2013 et 2015, qui ont permis de lancer le gros de la phase d’aménagement en 2018 (cette phase doit durer a priori jusqu’en 2021). La priorité a d’abord été de requalifier la zone, de l’assainir, de la dépolluer, et de l’inscrire en cohérence avec les aménagements de valorisation des bords de Loire et de leurs équipements culturels. Les premières constructions sont prévues pour 2019 et 2020, et l’achèvement de la ZAC est planifié pour 2022.

Installée de part et d’autre d’une falaise, la ZAC des Rives de Loire se déploiera sur deux niveaux, sur le périmètre de l'ancien site industriel de l'usine Pontgibaud-Tréfimétaux. Haut-lieu de la mémoire ouvrière couëronnaise, l'enceinte de l'usine est devenue l’Espace culturel et associatif de la Tour à plomb au début des années 2000, le temps d'opérer la transition entre activité industrielle et quartier d'habitation. Les équipements municipaux qui s'y trouvent aujourd'hui en font un véritable lieu d'animation et d'échanges : Cour carrée, espace public d’exposition, Magasin à huile et Médiathèque font partie de ce point de rencontre, amené à évoluer avec la requalification résidentielle du secteur.

« Ultime lieu de mémoire, plein sud sur la Loire, il s’agit d’en faire un endroit d’habitation, ouvert à tous et à l’espace public. Ainsi, la falaise n’est-elle pas une contrainte. Un escalier et ascenseur en rejoindront le haut et le bas. »
Jean-Christophe Rousseau, du cabinet nantais Forma 6, mandaté par Nantes métropole pour l’aménagement de la ZAC

Pour rester dans la mémoire du site, c’est donc un ascenseur en briques qui assurera la liaison entre le haut et le bas du quartier. Pour le moment, la programmation en matière de logement prévoit un volume total de 300 logements neufs, répartis comme suit :

Afin que tous les habitants de ce nouveau quartier atypique puissent profiter de la vue sur la Loire, révélée en hiver derrière les platanes effeuillés, « des plots seront disposés devant, permettant au second rideau de voir le fleuve, par espacements de 20 m faits de pleins et de vides ».

Côté aménagements publics, il est prévu de créer en pied de falaise une liaison paysagée, et d’organiser la partie haute entre prairie belvédère, plateaux ludiques, et terrasses de flâneries. Le futur quartier sera ainsi ouvert sur un paysage d’exception particulièrement mis en valeur, tout en permettant de préserver l’intimité des habitants.

Afin que l’harmonie architecturale et urbaine préside, une juste transition sera opérée entre les anciens bâtiments industriels à l’est, cet atypique programme des Rives de Loire, et les habitations existantes à l’ouest. Les formes urbaines dans toute leur diversité s’appuieront ici sur l’identité des différents lieux patrimoniaux et naturels, afin que l’équilibre entre tradition et urbanisation puisse se faire, et que Couëron conserve son identité tout en se développant. Pour que cette démarche soit la plus efficiente possible, Nantes métropole invite les habitants à participer à l’aménagement des futurs espaces publics.

© Ville de Couëron

Le quartier Ouest Centre-Ville : un nouveau quartier couëronnais

Le projet d’aménagement du quartier Ouest Centre-ville vient répondre à plusieurs enjeux de territoire, dont le premier est sûrement de rééquilibrer l’urbanisation autour du centre-ville. Il s’agit évidemment aussi de répondre à la démographie croissante d’un centre-ville attractif en proposant une offre d’habitat accessible et de qualité, et en favorisant la mixité de l’habitat par des formes urbaines diversifiées.

Niché entre centre-ville, marais et gare TER, le projet « Ouest Centre-ville » de Couëron a pour objectif de développer de l’habitat diversifié en restant solidement inscrit dans un environnement à forte qualité paysagère. Le but sera aussi d’assurer une continuité avec les quartiers existants à l’est, dont le centre-bourg historique, et avec le Port-Launay au sud. Le lien avec les espaces naturels au nord-ouest et à l’ouest sera quant à lui préservé et mis en valeur.

Débutée en 2007, la réalisation du nouveau quartier Ouest Centre-ville est prévue pour se dérouler sur 7 phases, qui doivent voir chacune la construction de nouveaux logements. En tout, les 70 hectares du périmètre d’aménagement prévoient 56 hectares de programmation immobilière, destinés à accueillir près de 1.750 logements neufs. Le projet comprend également :

Au 20 février 2018, lors de la réunion publique qui s’est tenue pour faire le point sur l’avancement de ce projet urbain et sur les étapes à venir, 1080 logements étaient déjà livrés ou en cours de construction (dont 30% en accession abordable), 850 logements déjà habités (soit près de 50% de la ZAC), et 5 phases déjà aménagées, dont les 8 ha de coulée verte.

© Loire Océan Développement

Le groupe scolaire et de loisirs Jean Zay inauguré en septembre 2018

Couëron a inauguré son nouveau groupe scolaire de l’Ouest Centre-ville à la rentrée dernière. Et ça n’a pas été un mince évènement, puisqu’elle a été la seule ville de tout le département à bénéficier d’un tel équipement public cette année. Le nouveau groupe Jean Zay doit ainsi permettre d'ajuster l’offre de service à l’évolution démographique galopante de Couëron, mais aussi de proposer un nouveau lieu de vie dans le quartier.

En effet, en plus de l’école maternelle et élémentaire, le nouveau groupe scolaire comprend un espace dédié aux centres de loisirs et aux temps d’activités périscolaires, qui pourra également être utilisé hors du temps scolaire par des associations.

Le nouvel établissement, situé rue Jean-Claude Maisonneuve, à proximité des jardins familiaux et de la coulée verte, est placé au cœur du secteur, proche des nouvelles constructions, mais en dehors de toute circulation automobile. Les 264 écoliers de primaire et de maternelle répartis sur 9 classes ont ainsi pu faire leur rentrée dans un cadre privilégié, où les projets sont encore à construire ensemble.

« On va pouvoir tous ensemble construire le fonctionnement de cette nouvelle école, la rendre agréable pour vos petits frères et sœurs. C’est une chance. »
Discours d’inauguration de la nouvelle enseignante du groupe scolaire Jean Zay
« On se sent privilégiés d’être dans cette nouvelle école, au milieu d’un cadre verdoyant. Il est évident que nous tous, élèves, parents, enseignants, allons essuyer les plâtres, mais ce sera avec un réel plaisir ! C’est une chance pour nous de travailler dans de si bonnes conditions. »
Coraline Marzoni, la nouvelle directrice du groupe scolaire Jean Zay

Carole Grelaud, la maire de Couëron, est une ancienne institutrice. Elle a ainsi été très émue d’ouvrir sa première école, qu’elle décrit comme « un lieu emblématique d’accès à la connaissance et un équipement de quartier très attendu ». Ce lieu a aussi voulu être au cœur d’une démarche collaborative et participative de quartier, destiné à installer dans l’école une œuvre d’art, dont l’emplacement et la nature restent à déterminer.

« Avec l’accord des enseignants et de la direction de l’école, toutes les classes participeront à ce projet dont les modalités de mise en œuvre sont en cours de finalisation. Et nous aimerions que les habitants du quartier participent également à habiller ce nouvel établissement d’une touche artistique. Dans la ville ou à l’école : notre credo est que l’art est un bien commun, à diffuser et partager ! »
Carole Grelaud, maire de Couëron

Les élèves et les professeurs sont impliqués dans l’élaboration de ce projet artistique participatif depuis la rentrée, et la Ville comme les autres partenaires du projet ont pour le moment donné carte blanche à leur créativité. Musique, peinture, sculpture, photographie… Les portes restent encore totalement ouvertes, et la création de cette nouvelle oeuvre commune devrait donner lieu aux expressions citoyennes les plus libres. Ce qui est certain, c’est que ce nouvel équipement est un objet de réjouissances pour tous les Couëronnais. C’est également un solide investissement pour l’avenir de la ville, qui peut maintenant répondre sans rougir à sa demande de scolarisation, et poursuivre avec fierté ses perspectives de développement.

« Lorsque nous avons acheté sur Couëron il y a 5 ans, nous n’avions pas d’enfant et à la place de l’école actuelle, il y avait un grand terrain vide. Ce sera donc la toute première école d’Inès. Nous sommes ravis. Tout ce qu’on a vu nous plait énormément. Nous faisons régulièrement le tour de l’établissement avec notre fille pour lui faire découvrir sa nouvelle école et on regarde aussi le film 3D sur le site Internet de la Ville. Comme nous travaillons tous les deux, la présence d’un centre de loisirs le mercredi ou encore la cantine, c’est super ! Nous habitons juste derrière l’école dans un petit pavillon et nos voisins sont comme nous, plutôt jeunes avec des enfants en bas âge. On se sent bien dans notre quartier ! »
Lucile et Romain, habitants du quartier Ouest centre-ville

Réaménagement des abords de la gare

Pour soutenir ce développement urbain ambitieux, et répondre adéquatement aux nouveaux afflux de voyageurs qu’il engendre, la municipalité de Couëron a aussi planifié un réaménagement des abords de la gare, notamment sur le bas de la rue Alexandre-Olivier, la rue de la gare et le parvis devant la gare. Cette opération vient répondre à une demande de plus en plus pressante des usagers et des habitants, qui voient augmenter de quasiment 10% chaque année le nombre de voyageurs en gare de Couëron. Depuis le 2 juillet 2017 et l’arrivée de la LGV, on compte 33 dessertes quotidiennes en gare de Couëron, contre 25 auparavant.

Les objectifs retenus pour ces aménagements sont les suivants :

La saturation du parking a été retenue par la municipalité couëronnaise et la métropole nantaise comme un élément problématique prioritaire à gérer. Elle commençait à créer des perturbations pour les riverains et la circulation des bus. Pour remédier à la situation, il a été décidé de créer 120 places de parking, réparties au sud et au nord de la gare. Il est même déjà envisagé de créer 80 autres emplacements à l’horizon 2025.

L’amélioration générale de l’accessibilité de l’espace public aux abords de la gare se fera grâce à de conséquents travaux de voiries, à la création d’un arrêt « dépose-minute », de places de stationnements pour cyclistes, et de nouveaux quais de bus.

L'aménagement du parking-relais est prévu pour 2019. Les 83 premières nouvelles places de stationnement seront mises à disposition au nord de la voie ferrée, et il sera créé un accès piéton et un escalier jusqu’aux voies.

Sources :

Avec IMMO9, faites le choix de la confiance en réalisant votre projet immobilier et bénéficiez des conseils d’une équipe entièrement mobilisée pour votre satisfaction.
Contactez-nous
Partager sur